Mes moments marquants des Salons du livre

Bonjour,

En ce mois de novembre, j’avoue d’avoir un mélange de tristesse et de nostalgie. Normalement, ce mois a souvent les étiquettes du mois noir, le mois des morts, etc. Par contre, s’il y a un événement dans l’année que j’attends avec impatience et que je ne manque jamais, c’est bien le Salon du livre de Montréal.

Depuis plus de 10 ans, pour moi, le Salon de livre est devenu une belle et unique occasion pour aller à la rencontre des auteurs de tout genre. De plus, avec la popularité de l’événement, ces journées m’offrent souvent l’opportunité de voir des artistes qui sont rarement accessibles dans d’autres contextes comme les spectacles où il y a plus de gens qui font la file. Malgré les milliers de visiteurs, surtout lors de la fin de semaine, je n’hésite jamais à aller faire mon tour chaque année.

Mes moments marquants lors de mes visites au Salon

Lorsque je me remémore quelques moments au Salon du livre, mes premiers souvenirs sont bien sûr mes rencontres annuelles avec mon auteure préférée, India Desjardins. Chaque année, ce sont de magnifiques rencontres pour moi puisque je grandis avec ces livres et India entretient toujours des relations de proximité avec ses lecteurs.

Certes, ma première raison de me rendre à cet événement littéraire c’est de discuter avec India Desjardins, mais c’est aussi le moment où je peux aller à la rencontre de plein de personnalités publiques. La première personne qui me vient en tête c’est la femme d’affaires Danielle Henkel. Cette année-là, pour la pige de Noël familiale, j’avais pigé ma grand-mère et, elle avait mis dans sa liste de souhaits, le dernier livre de Danielle Henkel. C’est pourquoi que lors de ma visite annuelle au salon, j’avais remarqué la présence de Danielle en séance de dédicaces, donc j’ai sauté sur l’opportunité et ce fut une rencontre mémorable. Au travers les années, j’ai pu rencontrer l’actrice et l’auteure, Frédérique Dufort, la grande écrivaine de chez nous, Marie Laberge et la chanteuse et maintenant auteure, Stéphanie Lapointe. Lors de ma rencontre avec celle-ci, j’étais vraiment contente puisqu’elle est la seule gagnante féminine de Star Académie au Québec et je l’aime bien. 

Pour l’édition 2019 du Salon du livre, comme je n’allais pas à l’école et je n’avais pas de contrat de travail, je me suis inscrite comme bénévole. C’était la première fois et j’ai adoré l’expérience. J’ai appris à connaître les responsables et l’envers du décor, ce qui était assez impressionnant.

Ma tâche qui m’était assignée était dans la section de l’« Halte-poussette ». Cette partie du Salon du livre est une aire de repos mise à la disposition des parents et de leurs jeunes enfants. Mon rôle était d’accueillir les enfants et leurs parents, de veiller à ce que l’endroit demeure propre et agréable ainsi de tenir un registre du nombre de personnes qui y sont venues.

Évidemment, sur les 5 jours de l’événement, je me suis gardée 1 journée pour seulement aller faire un tour comme lectrice. J’ai pu rencontrer la comédienne et auteure Catherine Trudeau lors de mes heures comme bénévole, mais j’ai aussi vu Marie-Chantal Perron, Tammy Verge, Marc Hervieux et Jean-Philippe Dion.

Cette année, avec le contexte de la pandémie, on se doutait qu’un Salon du livre traditionnel n’avait pas sa place, alors que la COVID-19 nous fait tenir la distanciation sociale. Par contre, pour le directeur général du salon, Olivier Gougeon, l’annulation de cette 43e édition n’était pas une option. C’est pourquoi qu’à la fin du mois d’octobre, une nouvelle programmation adaptée à la situation actuelle a été dévoilée. Lors de cette édition, le 12 au 15 novembre dernier, les amateurs de lecture ont eu droit à des tables rondes, des cabarets, des confidences de certains écrivains comme Kim Thúy, Josélito Michaud et Michel Tremblay, des animations jeunesse et d’autres conférences enregistrées au Palais des congrès, le nouvel emplacement du Salon du livre et diffusé sur une nouvelle plateforme web gratuite du Salon du livre. De plus, des rencontres individuelles et en groupes avec des auteurs étaient planifiées. Bref, cette édition spéciale a réuni 462 auteurs, 102 maisons d’édition, environ 500 activités offertes, 70 animations enregistrées au Palais des congrès et 90 capsules vidéo mettant en lumière des auteurs.

Pour ma part, j’ai bien aimé assister à quelques de ces différents rendez-vous. Par contre, comme le Salon du livre traditionnel me manque, j’espère que 2020 sera la seule année où nous allons vivre ce salon différemment.

Madame Sourire

Source;

https://www.lapresse.ca/arts/litterature/2020-10-27/le-salon-du-livre-dans-votre-salon.php?fbclid=IwAR36bR_STugDKQmOIlQsy_fsOKXCSwTMr5v4IFTRwlRc0VGmpyg4ufHAUrw

SPÉCIAL – Jeux de mots

Bonjour,

Malgré les temps difficiles que nous vivons actuellement, j’espère que vous allez bien et que vous prenez soins de vous et des gens qui vous entourent.

Sur une note plus positive afin d’apporter un peu de joie à l’autonome, je vous partage une chronique toute spéciale. Et oui, déjà ma 50e chronique sur mon blogue! Je suis tellement heureuse de l’évolution de la rédaction des articles et l’image que mon blogue a aujourd’hui.

Comme cet article mensuel n’est pas ordinaire, voici un mot mystère qui reflète les 4 premières années du site!

Bonne chance à tous!

Madame Sourire

Mon amour de l’eau

Bonjour,

Je voulais aborder un autre de mes sports favoris. Depuis d’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours aimé aller dans l’eau. Que ce soit dans une piscine, dans un lac ou encore dans une rivière, j’aime beaucoup nager ou simplement me baigner.

Je trouve que le fait de nager est parfait pour une personne en situation d’handicap, car cette activité permet de travailler tout notre corps. Par contre, avec mon handicap physique, c’est sûr qui avait plus de précautions à prendre. Donc, je me suis toujours baigné avec un flotteur, une ceinture de sécurité et même aujourd’hui, je prends un flotteur à la taille.

Lorsque j’étais enfant, je suis allée plusieurs fois à la piscine avec mon père ou encore dans le cadre de thérapies, dans la piscine chez ma mère en plus d’aller dans la rivière du chalet familial et le lac chez mon oncle. Plus tard, préadolescente, j’ai commencé à suivre des cours. Avec de la chance, j’ai pu avoir des entraîneurs qui étaient ouverts à m’aider. Quand je suis allée à mon école Joseph-Charbonneau, j’ai connu le sport adapté et j’ai pu participer 5 fois à la compétition de natation au défi sportif AlterGo.

Maintenant, dans ma vie adulte, la natation est l’un des sports qui sont restés. Depuis que j’ai terminé l’école, je me suis inscrite à des sessions de cours de natation avec Viomax, un organisme à but non lucratif avec des activités physiques menées par des professionnels pour les personnes physiquement handicapées ayant pour but de nous offrir une vie active. 

Madame Sourire

4 ans de blogue

Pour commencer cette 5e année de publications, j’ai eu l’idée de vous raconter la petite histoire de l’idée du blogue.

Depuis très longtemps, j’ai un intérêt pour le monde artistique. Je ne passe pas une journée sans écouter ou consulter les nouvelles culturelles. De plus, j’assiste à plusieurs spectacles par année à la hauteur de mes moyens, bien sûr ou lorsque je reçois des billets en cadeau. Sans compter mes différentes sorties au musée et ma grande admiration pour certains artistes. D’ailleurs, avec l’arrivée des réseaux sociaux, je suis abonnée à plusieurs personnes du milieu artistique, question de savoir tout ce qui passe en culturel au Québec!

C’est alors qu’au cours de l’été 2016, mon cheminement scolaire terminée et sans emploi. En étant incertaine de mon avenir, j’ai occupé mon temps à construire mon propre blogue. Cela faisait déjà 10 ans que cette idée était entamée avec une série de discussions avec mon père. 

Je dois dire que lors de ma dernière année à l’école, sans y avoir réfléchi ni m’en rendre compte, puisque je m’étais impliquée dans le journal étudiant où j’y avais composé quelques articles sur différents sujets, j’avais en quelques sortes débuté le projet. Le 29 août 2016, c’est la date à retenir… Mon premier article était publié sur mon blogue!

Depuis l’ouverture du blogue, je me suis donnée comme objectif de publier un article par mois afin de me permettre d’avoir assez de temps pour faire la production de mes textes. Pour l’instant, je suis confortable avec ce rythme et je respecte très bien mes échéances! De plus, pour commencer l’année, je fais un mot d’ouverture, en décembre, j’essaie d’avoir une forme de cadeau pour le temps des fêtes et en février, j’ai introduit le concept de l’artiste du mois, alors je choisi un artiste que j’apprécie beaucoup et je survole sa carrière.

Finalement, afin d’être original,  je me suis créée une signature propre, celle de “Madame Sourire” pour faire mes articles sous ce nom.  Cette signature reflète parfaitement ma personnalité, car je suis reconnue comme étant une personne très souriante par tous ceux qui croisent mon chemin. Il m’arrive parfois même de trop sourire jusqu’à rendre plus difficile mon allocution.

Madame Sourire

Annulation des Jeux Olympique d’été de Tokyo/ COVID-19

JO 2022 : Lviv quitte la course mais vise 2026 – Sport & Société ...

Bonjour tout le monde,

Mon tout dernier article pour cette 4e année du blogue a grandement changé depuis le début de sa rédaction. Avec tout ce qu’on a vécu depuis quelques mois, je ne pouvais pas y faire abstraction.

Tout a commencé le 31 décembre 2019, alors que plusieurs cas de pneumonie ont été signalés en Chine. Ces gens venaient de la capitale de la province du Hubei, Wuhan qui se trouve au centre du pays. Rapidement, on a su qu’il s’agissait d’un nouveau coronavirus jamais diagnostiqué chez l’humain.

Mais, qu’est-ce que c’est le COVID-19?

Ce coronavirus, aussi appelé COVID-19, fait partie de la «grande famille» des coronavirus. Il s’agit de virus pathogènes qui entraînent chez l’humain, différentes maladies, un banal rhum jusqu’à des infections pulmonaires beaucoup plus graves provoquant par exemple, des syndromes respiratoires aigus sévères (SRAS). Le terme «corona» explique sa forme en couronne (corona en latin). Il y a quelques années, d’autres formes de coronavirus ont apparus comme par exemple, le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) en 2012.

La COVID est devenue un phénomène mondial. Contrairement à nos attentes, après environ 3 mois, ce virus encore peu connu s’est rendu jusqu’ici, en Amérique. Plus précisément, au Québec, le premier ministre, François Legault a commencé à faire des points de presse quotidiens au début mars en ordonnant l’arrêt des rassemblements et les fermetures des écoles, des commerces, des cabanes à sucre, des entreprises non essentielles, annulations et reports de tous les événements culturels, spectacles et festivals afin d’éviter la propagation du virus.

Le grand enjeu du Québec pendant la crise a toujours demeuré les équipements médicaux. Aidé par la ministre de la santé Danielle Mccan et le directeur national de la santé publique Horracio Arruda, M. Legault a commencé à libérer le système de la santé en remettant des chirurgies non nécessaire et libérer 6000 lits.

Au début du mois d’Avril, nous étions rendus à environ 6000 cas au Québec et ce mois a été le plus meurtrier des 10 dernières années avec 7662 décédés. Rapidement, en mettant le Québec sur pause jusqu’à la fin mai environ, François Legault et son équipe ont vite réalisé que la crise se passait généralement dans les centres d’hébergements de soins longue durée (CHSLD). De plus, une autre faille de notre système s’est révélé à être le grand manque de personnel de soins. Le gouvernement a d’ailleurs fait appel à la population en les invitant à s’inscrire pour venir en aide dans les institutions de santé ainsi de s’inscrire à une formation accélérée pour permettent entre-autre à des jeunes de venir travailler et favoriser le métier de préposé.

Annulation des Jeux Olympique

Avec toute cette crise mondiale, bien sûr que du côté du comité olympique et du comité paralympique canadien, c’était évident qu’il fallait procéder à l’annulation des jeux olympiques de Tokyo 2020. C’est pourquoi, avec l’aide d’un communiqué de presse, lors de la matinée du 23 mars dernier, le Canada a été le premier pays à prendre la décision de se retirer des jeux olympique de Tokyo 2020 en n’envoyant aucun athlète y participer. N’ayant aucun moyen de poursuivre l’entraînement des athlètes, pour protéger la santé et la sécurité de tous, ils ont demandé de reporter l’événement en 2021. C’était la 5e fois que le Canada se retirait des jeux car, la 1ère fois ce fut en 1896 pour les jeux d’Athène lors de la guerre.

Le lendemain de cette annonce, c’était au tour du Japon à faire la demande officielle de reporter les jeux olympique de Tokyo en 2021. Ainsi, le comité international olympique a accepté l’annulation des jeux et se sont entendus avec le Japon pour reporter les Jeux de Tokyo à 2021, à cause de la pandémie de coronavirus. Il faut souligner que c’est la première fois que la décision est prise en temps de paix et au 21e siècle.

Bonne nouvelle!

À la fin mars, étant toujours en action, le Japon et le Comité international olympique (CIO) ont eu un accord pour reporter les Jeux de Tokyo à 2021, à cause de la pandémie de coronavirus. Tous les pays étaient heureux de cette nouvelle!

Au cours des dernières semaines, avec l’évolution de ce virus, la gouverneure de la capitale japonaise, Yuriko Koike se montrait très optimiste à l’idée de présenter les jeux olympiques au Japon au cours de l’été 2021 avec une formule simplifiée. Les jeux de 2021 seront présenter du 23 juillet au 8 août 2021 et concernant les jeux paralympiques, ce sera présenté du 24 août au 5 septembre 2021. Cependant, si la COVID-19 se poursuivait, les organisateurs ont affirmé la possibilité de l’annulation complète de l’événement.

Du côté des athlètes, c’est important de dire que les athlètes déjà qualifiés pour les Jeux de Tokyo conservent leur billet olympique pour l’année prochaine. Mais, pour les athlètes pas encore qualifié en raison de l’arrêt de la pratique des sports, leurs qualifications ont demeuré en suspens.

Comme c’était ma dernière chronique de ma 4e année, je vous souhaite un bel été et soyez prudent!

 

Madame Sourire

Sources : https://www.canalvie.com/sante-beaute/sante/coronavirus-covid-19-1.10510378

https://www.facebook.com/rdimatin/videos/678277689607049/?__tn__=%2Cd%2CP-R&eid=ARCJp5dxcYhg5KGRa2jOZSSiGR3bOFbzNRvqikOfsw_4QGF1pJziPyvN5FfMD0GboZ-MGg6KdHVE7die

https://ici.radio-canada.ca/sports/1684328/jeux-olympiques-tokyo-report-2021-coronavirus-cio

https://www.lapresse.ca/sports/tokyo-2020/2020-06-13/les-jo-de-tokyo-seront-surs-affirme-la-gouverneure

https://ici.radio-canada.ca/sports/1688901/jeux-olympiques-ete-tokyo-2020-2021-athletes-qualifications?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter

Film Une princesse sur glace

Une princesse sur glace

Lorsque j’étais enfant, vers 4-5 ans, mes parents ont tenté de faire plusieurs essais afin que je puisse patiner. Évidemment, avec ma paralysie cérébrale et mon manque d’équilibre, ce n’était pas facile. Par contre, j’ai été capable de faire du patin avec ma marchette que je mettais à l’envers pour avoir un simple appui.

Malgré mon manque de capacité à faire du patin, j’ai toujours aimé le patinage artistique. Il est vrai que c’est peut-être simplement une influence venant de ma mère qui a fait du patinage artistique et en a jugé pendant plusieurs années. De plus, le fait de visionner les compétitions télévisées me font admirer le travail des athlètes.

Je sais qu’on est au printemps, mais je voulais vous faire découvrir un film que j’aime beaucoup voir lors de la session hivernale. De plus, il me fait rappel la beauté du patinage artistique. Il y a quelques années, j’ai eu le film « Une princesse sur glace ».

« Une princesse sur glace » est sorti en 2005 et ce film est présenté par Walt Disney picture. Il a été écrit par Meg Cabot et Hadley Davis en plus d’être réalisé par Tim Fywell. Il met en vedette entre autres, Michelle Trachtenberg, Joan Cusack et Kim Cattrall.

Le long-métrage « Une princesse sur glace » est l’histoire de Casey Caryle qui se trouve à être une très bonne élève de son école secondaire et qui reçoit le mandat de faire un projet personnel pour son cours de sciences. En étant déjà amoureuse du patinage artistique, c’est en regardant une compétition de patinage artistique à la télévision avec sa meilleure amie que Casey a soudain une idée pour son projet de sciences! Pourtant, ce projet n’est pas gagné d’avance. N’ayant pas autant d’argent et cherchant à vouloir cacher la vérité à sa mère, elle devra s’investir beaucoup plus qu’elle pensait au départ et convaincre plusieurs personnes pour atteindre ses buts et son rêve.

En terminant, je souhaite vous avoir donné le goût de voir ce film et j’espère que vous aurez la chance de profiter du beau temps en toute sécurité!

Madame Sourire

 

 

 

Fugueuse 2

Fugueuse 2

Après la série Fugueuse de 2018, une suite avait été espérée par les fans. En plus de la grande implication de la part de l’actrice principale, Ludivine Reding, il y avait de nombreuses attentes à gérer. Deux ans plus tard, le souhait des téléspectateurs a été réalisé, mais pas à la hauteur de ce qu’on imaginait!

À la fin de la première saison, il faut se rappeler que le personnage d’Ariane, la meilleure amie de Fanny, avait été retrouvé morte. Dans le premier épisode de cette 2e saison, on se retrouve 4 ans plus tard, alors que Fanny est devenue policière, plus précisément agente d’infiltration. On peut comprendre que Fanny a comme objectif d’aider les gens dans la rue et d’éviter que les jeunes de la rue se retrouvent avec le même destin que son amie Ariane. Même en étant en thérapie, elle sera plus vulnérable que laissent croire son comportement.

Fanny aura des défis a relevés malgré ses apparences de femme forte. De plus, elle devra composer avec la comparution en cour de Damien suite à son séjour en prison et sa libération. Fanny a aussi une relation difficile avec ses parents suite à son aventure de pute. Le jeune Yohan, quant à lui, se retrouve dans la même situation que Fanny dans la première série et c’est pour cela qu’elle l’accompagnera en essayant de faire de la prévention. Fanny ressent le besoin d’aider et tente, tant bien que mal de raisonner Damien.

Du côté de Carlo, joué toujours par Iannicko N’Doua, après avoir aperçu Fanny dans un bar, il s’organise pour aller provoquer Natacha, qui a maintenant sa propre business, son protégé et Damien pour trouver Fanny. Il va s’immiscer dans l’environnement de beaucoup de monde. Natacha réussi à prévenir Fanny des risques et conséquences futurs, en retour, Fanny va tenter d’en savoir plus sur le décès d’Ariane. De plus, Jim, joué par Mathieu Baron, est pas mal menaçant.

Suite à l’écoute du 5e épisode, j’avoue me questionner sur la suite de cette 2e saison. Je trouve la série accrocheuse, mais on tourne peut-être trop en rond et on manque beaucoup de crédibilité. Par exemple, le fait que Fanny se retrouve comme policière ne fonctionne pas physiquement. On présume que Fanny retournera peut-être sous influence des proxénètes alors qu’elle aperçoit Damien tourner autour du même bar où elle travaille. Tout l’entourage de Fanny sera affecté par la libération de Damien. Les patrons de Fanny vont rapidement l’a mettre en garde concernant le danger qu’elle court, mais Fanny va réussir à aller au bout de sa mission.

Nouveaux visages et diversité

Durant cette saison, il y a 2 jeunes comédiens qu’on suit et qui volent la vedette. Yohan Bergeron joué par Robin L’Houmeau qui joue un trans devenant Alexe avec qui on peut suivre la transformation. Aussi, on voit Daisie Flamand jouée par Jemmy Echaquan Dubé qu’on découvre. Ces jeunes sont suivis et aider par Fanny. Une autochtone et un trans qui vont se fréquenter.

De plus, on laisse beaucoup de place aux personnes autochtones avec la présence de Jemmy Echaquan Dubé. D’origine atikamekw, Jemmy  vient de Manowan tout comme le personnage de Daisie a apporté beaucoup de sa culture à la production de la série. Jemmy raconte que c’est un peuple avec une grande fierté. Les valeurs familiales et la langue sont très importantes pour ce peuple. L’eau fait partie beaucoup de leur culture, car ils se promènent souvent dessus. Lors des tournages, la comédienne a témoigné que l’équipe lui a laissé le temps d’apprivoiser le personnage et faire ses scènes.

Du côté des méchants, on découvre Kevin Ranély qui joue le rôle de Karim. Il agit comme un proxénète envers Daisy, Yohan et d’autres filles. Un de ses objectifs est réussir à ce que Daisy quitte le pays. Dans une entrevue, l’acteur mentionne avoir travaillé fort pour se mettre dans le personnage autant dans l’habillement que dans les émotions.

Il a y aussi la comédienne Pascale Drevillon, une femme trans qui joue le rôle de Maria. Lors d’une entrevue, on a pu en apprendre un peu plus sur elle. La jeune comédienne a commencé vers l’âge de 12-13 ans en faisant de théâtre d’été dans les Laurentides. Comme actrice, elle veut démystifier le fait d’être une personne trans, l’identité, les termes utilisé, son parcours, sa démarche et la représentation des personnes trans dans l’industrie.

Lorsque Pascale aborde le changement de sexe, elle précise que ce n’est pas obligatoire, c’est un choix et une grande démarche. La transformation vers une autre identité est très longue et elle dit avoir voulu faire la transition vers 8-9 ans. On doit mentionner que maintenant ces personnes font partis des groupes Lgbtq/Lgbtq 2. Ce sont des personnes non hétérosexuelles et cisgenres.

Mme Drevillon aspire bien faire de tout; théâtre, télé, cinéma, etc. Elle a participé déjà à un court-métrage à voir prochainement. Se définissant elle-même comme un être romantique, Pascale aimerait bien fait une comédie romantique ou encore une comédie musicale. Sans être certaine de son avenir, la comédienne souhaite avoir un copain et peut-être une famille.

Bien que cette suite de Fugueuse boucle cette série télévisée, ce n’est pas une grande 2e saison. C’est décevant de voir les incohérences et parfois le jeu des acteurs laisse à désirer. Espérons voir Ludivine Reding dans une autre série qui pourrait démontrer une autre facette de son jeu d’actrice.

 

Madame Sourire

Mon expérience en étant jeune leader au Grand Rassemblement en Cirque Social 2020

Jeunes Leaders Cirkaskina par sage rebelle photo 2019

Ce fut une expérience unique, hors du commun et exceptionnelle!Elizabeth Quesnel

En 2019, Frédéric Loisel, ergothérapeute clinicien, responsable du programme Cirque Social – programme TÉVA – DP (Transition École Vie Active en déficience physique) (déficiences motrices, sensorielles et du langage) au centre de réadaptation Lucie-Bruneau de Montréal m’a contacté pour me faire part de l’événement du grand rassemblement en Cirque Social représentant 17 communautés avec 150 jeunes à travers le Canada. Il m’a offert d’être la fière représentante pour la TEVA-Montréal.

C’est quoi le Cirque Social?

Le Cirque Social est une approche novatrice qui fait appel aux arts du cirque. C’est aussi une démarche visant la participation des jeunes de 18 à 30 ans à développer des habitudes de vie (déplacements, socialisation, l’esprit citoyen, la créativité, la communication, les responsabilités, etc.) et des rôles sociaux en modifiant leur perception d’eux-mêmes, tout en leur permettant de se délivrer de leurs soucis, leurs difficultés et de maximiser leur autonomie au quotidien. Cette intervention s’adresse aux jeunes adultes avec des situations sociales et personnelles précaires.

Groupes de Cirque Social et villes représentées

Voici les 17 communautés à travers le Canada, du Nunavut à Vancouver;

1. Ô Cirque – Sherbrooke
2. Cirque Pisimwapi – Manawan
3. Cirqiniq – Nunavik
4. L’école de cirque de Verdun – Montréal
5. Cirque du Monde – Baie-Saint-Paul
6. Artcirq – Nunavut
7. Cirque Pisimwapi – Wemontaci
8. Green Fools – Calgary
9. Halifax Circus – Halifax
10. Social Circus Foundation – Vancouver
11. SoCirC – Toronto
12. TEVA – Montréal
13. École de Cirque des Îles – Îles-de-la-Madeleine
14. Le Petit Cirque Sablon – Montréal
15. Ignite Circus – Terre Neuve
16. Cirque du Monde Québec – Québec
17. Cirque Hors Piste – Montréal
Mon mandat comme jeune leader

Le 24 mai 2019, mon mandat de jeune leader de l’organisation de Cirkaskina en Cirque Social de TEVA Montréal a débuté. Comme jeune leader, notre mandat principal était de promouvoir l’événement du grand rassemblement dans notre communauté. De plus, nous devions nous présenter aux 2 grandes rencontres de préparation, soit en mai et octobre 2019 afin de co-créer l’événement en participant à différent processus de création dans le but d’en faire un événement à notre image.

1ère rencontre des jeunes leaders – En route vers Cirkaskina

La première rencontre entre les jeunes leaders s’est déroulée lors de la fin de semaine du mois de mai, du 24 au 27 mai 2019. Nous étions logés dans une auberge de jeunesse à Québec. L’objectif de cette première rencontre était de se connaître et d’apprendre sur les différentes formes et groupes de Cirque Social à travers le Canada.

En préparation à cet échange, je devais préparer un texte d’environ 1 page et ½ en vue d’une petite présentation pour expliquer ce qu’était le cirque social de la TEVA aux participants.

Au cours du rassemblement de la fin de semaine, nous nous sommes effectivement présentés, avons socialisé et partagé nos expériences à l’intérieur de nos communautés respectives. Puis chaque représentant était appelé à présenter leur approche en Cirque Social. Le tout animé et dirigé par Samuel Jabour, Melissa et Mariano.

Nous avons également pu avoir un premier aperçu du grand rassemblement final, soit le spectacle devant public. Les premières idées des organisateurs nous ont été exposés et tous étaient appelés à embellir ces idées pour progresser dans l’avancement de cet événement. Chaque groupe était aussi mobilisé pour se doter de sa couleur unique et de définir comment la démontrer lors du grand jour. Les groupes devaient ensuite choisir le nom et le « branding » de l’événement. À travers le processus de création, nous avons appris comment bien prendre notre rôle de jeune leader par le biais de mises en situation ou de discussions animées. Pour ce qui est de nos accompagnateurs, ils étaient focalisés sur la logistique à mettre en place tout en considérant l’éventail des cultures et langues de communication de chacun. Ce fut une fin de semaine bien remplie permettant de mettre en place une grande équipe unie autour de l’organisation d’une grandiose fête.

2e rencontre des jeunes leaders – En route vers Cirkaskina
(11-12-13 octobre 2019)

La deuxième rencontre entre les jeunes leaders s’est déroulée lors de la grande fin de semaine du mois d’octobre, soit du 11 au 15 octobre 2019. Les retrouvailles ont débuté avec 2 sorties organisées pour le vendredi; une visite aux installations du Cirque du Soleil en après-midi et en soirée, à la Tohu de Montréal pour assister au spectacle « Tabarnak ». Ce fut de belles sorties et tous étaient contents de se retrouver.

L’hébergement des groupes venant de l’extérieur se faisait à l’auberge St-Paul dans le Vieux-Montréal. L’objectif de cette deuxième rencontre était de préciser le contenu de grand rassemblement, le spectacle de janvier 2020.

Au cours de cette fin de semaine, nous avons été informés des avancés du projet. Nous avons fait la rencontre de l’équipe du Cirque hors piste mis en place pour l’événement. S’est joint au chargé de projet, Samuel Jabour, Daphné Morin pour la gestion des communications ainsi que Karine Lavoie, la directrice de Cirque hors piste.

Accueillis dans le local de Cirque hors piste, nous avons poursuivi sur les progrès en lien avec le grand rassemblement. Nous avons communiqué les résultats de l’échange d’informations à nos groupes de cirque respectifs. Participé à une tempête d’idées, défini le contenu de la fin de semaine de l’événement dont les ateliers, l’activité en soirée du samedi et les 4 directives artistiques pour la création collective devant prendre place lors du spectacle. Nous avons aussi réalisé un collage sur lequel était illustré une planète ou se trouvait du cirque social et une autre sans cirque social tout en pouvant pratiquer et échanger sur les disciplines de cirque. Finalement, le samedi soir, nous avons eu la chance de faire une belle sortie en allant assister au spectacle « The Dream Projet 3.0 ».

CIRKASKINA – Le GRAND rassemblement – Première rencontre nationale en Cirque Social

Rendu possible grâce au Gouvernement du Canada et Service Jeunesse, cette grande célébration a débuté le jeudi, 16 janvier 2020 avec l’arrivée des différents groupes venant de partout au Canada, du Nunavik en passant par Calgary jusqu’à Montréal. Pour cette fin de semaine, les participants avec leurs collègues de cirque ainsi que leurs intervenants/entraîneurs étaient hébergés à la Caserne 18-30 (centre communautaire de loisirs spécialisé dans les arts du cirque, pour les débutants comme pour les professionnels de 18 ans et plus).

Le vendredi, 17 janvier 2020, était le grand jour avec la représentation publique de Cirkaskina qui regroupait les 17 communautés reliant 150 jeunes passionnés des arts du cirque à la Tohu de Montréal. Lors des retrouvailles, la joie et l’excitation étaient au rendez-vous!

C’est sous la direction et mise en scène par Soizick Hébert et Yan Imbault, dans un esprit de co-création avec plusieurs kilomètres séparant les différentes troupes que s’est créé des numéros se basant seulement sur une couleur, un thème et une valeur pour chacun. Pour commencer le spectacle, on a pu apprécier la présence de Manon Massé, députée de Sainte-Marie–Saint-Jacques et cheffe du deuxième groupe d’opposition
Québec solidaire ainsi que les discours des organisateurs de l’événement.
Lors de la représentation, un grand arbre était sur la scène en symbole d’unicité de tous. Chaque groupe déposait un objet à la fin de sa présentation à l’exception du numéro d’ouverture, assuré par Cirque hors piste et TEVA. Mon groupe de la TEVA a été incroyable malgré le peu de temps d’entrainement et de répétitions pour le numéro. L’année de cette cohorte venait à peine de commencer, or, il y avait un peu d’appréhension et d’anxiété dans l’air mais ils ont tout de même bien performé. Parmi les moments forts, le numéro final avec le « Mosquito » en 4 différentes langues, dont le français, l’anglais, l’atikamekw et l’inuktituk a été très apprécié des spectateurs!!

Pour ce qui est de la journée du samedi, nous étions accueillis aux locaux du Conseil des arts de Montréal. Cette journée était entièrement consacrée à des ateliers de cirque. Les jeunes leaders, leurs collègues de cirque ainsi que les instructeurs étaient invités à faire 2-3 choix d’ateliers. Participer à 6 différents ateliers donnés par des experts pour apprendre diverses techniques et perfectionnement de leur art. Parmi les choix, il y avait un atelier de Clown, de jeux Inuits, du parcours, de jonglerie contact, d’accro-Yoga et un atelier de magie. Pour ma part, avec mes capacités, je suis allée pour une séance d’accro-yoga et un atelier de magie. Ce fut un bel après-midi de coopération. En soirée, il y a eu un Open stage! Un Open stage, c’est des petites prestations qui ont été présentées par quelques jeunes qui ont bien voulu faire des numéros.

Le dimanche, l’objectif de la journée était de fermer l’événement Cirkaskina. En avant-midi, les jeunes leaders étaient retirés de leurs groupes de Cirque Social respectifs puisque nous avions une mission; trouver une façon de terminer ce grand événement qui est Cirkaskina. Pour ce faire, nous nous sommes regroupés dans une pièce où nous avons réfléchi et lancé quelques idées. Au final, à l’aide d’une drama therapist et une guide spirituelle Mohawk, les jeunes leaders ont trouvé l’idée pour l’ultime activité de ce grand rassemblement. Pendant ce temps, les autres membres de la communauté du Cirque Social avaient droit à un espace où ils pouvaient échanger entre eux sur les différentes techniques de cirque et faire un jam de cirque.

L’idée des jeunes leaders, pour bien clôturer l’événement, consistait à identifier un mot représentatif de l’expérience pour chacun des 150 participants de Cirkaskina et l’écrire sur un lacet. En après-midi, en grand groupe, nous avons fait le Cercle de fermeture. Une forme de cérémonie guidée par la guide spirituelle Mohawk. Chaque jeune leader, accompagné de leur groupe de cirque social ainsi que des intervenants, à tour de rôle étaient invités à se lever, mentionner haut et fort le mot choisi pour résumer l’expérience de la fin de semaine et aller attacher l’ensemble de ses lacets sur le grand arbre dévoilé lors du spectacle collectif. Un cérémonial chargé de sens et d’émotion sous le bruit du tambour Inuit.

C’est sur des chants inuit, certains discours de jeunes leaders dont moi et de la part des autres membres de groupe en cirque social que c’est terminé avec beaucoup d’émotions Cirkaskina!
Les retombés

Suite à cette grande expérience, avec du recul, je me rends compte de la grande chance que j’ai eu d’y participer. D’être choisie parmi quelques dizaines de jeunes, de représenter un ensemble de jeunes hors du communs du monde du cirque, de participer à tous les étapes, de faire toutes ces rencontres ce fut une aventure marquante. Assurément, un moment de ma vie qui me sera gravé en mémoire en souhaitant de participer à d’autres rassemblements aussi humains et vive le Cirque Social!

En terminant, au cours du mois de février 2020, Cirkaskina – la rencontre nationale en cirque social a reçu le prix soulignant une « créativité remarquable » dans le cadre des Prix honorifiques annuels d’ArtBridges/ToileDesArts! L’organisation Cirque Hors piste a tenu à remercier ArtBridges/ToileDesArts de reconnaître le cirque comme outil de transformation sociale via sa page Facebook! En terminant, un documentaire complet sur cette expérience sera bientôt disponible.

Madame Sourire

 

Charlotte Cardin

Charlotte Cardin

Née le 9 novembre 1994, lors de son enfance, Charlotte Cardin-Goyer aimait bien s’amuser à imiter son idole Céline Dion. Rendue à l’adolescence, à 15 ans, Charlotte a fait ses débuts comme mannequin, une autre de ses passions. Elle était avec l’agence Folio et a eu l’opportunité de faire une apparition dans le magazine Elle Québec.

Quelques années plus tard, en 2013, alors que l’adaptation québécoise de l’émission The Voice est arrivée au Québec sous le nom de La Voix, c’est à ce moment que nous avons fait la découverte du talent de chanteuse de Charlotte Cardin-Goyer. La jeune adulte s’est rendue comme finaliste dans l’équipe de Marie-Mai. Suivant cette compétition, malgré qu’elle n’ait pas gagné, la carrière de Charlotte a pris son envol.

Avec l’arrivée de Charlotte dans le paysage artistique, elle a amené une nouvelle façon de faire de la musique en ne faisant pas d’album complet, mais bien des EPs (Extended Play – un format musical plus long qu’une simple chanson) et mettre sa musique disponible sur les plateformes Itunes et Spotify. Elle a misé sur une autre manière de consommer la musique pour les fans.

En début de parcours, le chanteur Garou a invité Charlotte à enregistrer une chanson en duo en 2015,  Du vent, des mots. Ce qui a permis à la jeune chanteuse d’aller interpréter le « single »  à l’émission The Voice : La Plus Belle Voix en France. Par la suite, Charlotte a participé à l’album Intemporelle de Diane Dufresne. Un album qui regroupe les grandes chansons de Diane Dufresne interprétées par des artistes variés tels qu’Ariane Moffatt, Marie Denise Pelletier, Marie-Pierre Arthur, Pierre Lapointe et bien sûr Charlotte Cardin.

En 2016, Charlotte a lancé son premier EP, Big Boy, avec des chansons en français et en anglais. La chanson titre a connu un très grand succès sur les plateformes de musique et les radios. Durant la promotion, l’auteure-compositrice-interprète a été sur plusieurs plateaux de télé et a accordé de nombreuses entrevues télé, dont en novembre, alors qu’elle est allée à l’émission Tout le monde en parle pour faire la promotion de son disque.

Quelques mois plus tard, à l’automne 2017, elle sort un second EP aussi excellent que son premier intitulé Main Girl incluant les titres Faufile et Dirty Dirty. De plus, dans le cadre du 39e Gala de l’ADISQ, Charlotte Cardin a reçu ses premières nominations dans les catégories Chanson de l’année et Spectacle de l’année.

Du côté de la France, Charlotte est demandée pour participer au « Paris Fashion Week 2017 ». De retour à Montréal, elle participe à l’ouverture de l’hôtel Fairmont Le Reine Elizabeth à la suite des rénovations.  Elle fait de la promotion et une tournée au Canada en plus de se promener à Los Angeles, Paris, Berlin, Bruxelles et Brooklyn pour y faire d’autres représentations.

Au début 2018, Charlotte annonce sa participation au Firefly Music Festival de juin et dévoile une nouvelle vidéo qui a pour titre The kids. Ensuite, elle fait un duo avec l’auteur-compositeur-interprète franco-canadien et acteur Aliocha Schneider avec la chanson Flash in The Pan. De plus, la chanteuse reçoit une nomination au JUNO Awards. Au cours du mois de mars, Charlotte sort un vidéoclip pour la chanson Paradise Motion et poursuit sa promotion en France et aux États-Unis ainsi que de donner plusieurs concerts.

Au cours du même printemps, l’auteure-compositeur-interprète lance la chanson « California » qui devient très bien classé dans le palmarès Spotify. C’est une chanson écrite pendant sa tournée et qui aborde les sujets de la distance et le fait de s’ennuyer des gens qui nous entourent.

À l’été 2018, pour célébrer les 30 ans des Francos de Montréal, Charlotte offre une liste de 10 chansons francophones coup de cœur. De plus, elle sort le vidéoclip de la chanson « California » et offre un spectacle à Toronto. En août, elle participe au festival Lollapalooza, au Grant Park à Chicago.

À l’automne 2018, Charlotte commence une tournée européenne en France, en Suisse et au Royaume-Unis.  Puis au Canada, à Toronto et au Québec. Elle sort un nouveau « single » avec « Double Shifts » et en décembre, elle sort une autre chanson ayant pour titre « Les jupes».

Pour débuter l’année 2019, Charlotte lance la chanson Drive accompagnée de son vidéoclip et fait une collaboration avec Tourisme Québec et CRi en reprenant la chanson Fous N’importe Où de Daniel Bélanger. De plus, en mars, on a pu entendre sa chanson Faufile dans la bande-annonce du film Dérive. À la fin mai, Charlotte se rend à Toronto pour le CBC Music Festival, fait un spectacle bénéfice au profit de l’Auberge Madeleine et fait une collaboration avec le rappeur Loud avec la chanson « Sometimes, All The Time ».

Pendant la saison estivale, Charlotte enchaîne ses participations aux festivals  RBC Royal Bank Bluesfest à Ottawa, le Paléo Festival Nyon en Suisse et au festival Francofolies de La Rochelle en France où elle est proclamée, la révélation. Du côté du Québec, la jeune auteure-compositeur-interprète s’associe à la Fondation de l’hôpital de Montréal pour enfants pour la création d’une berceuse avec sa chanson Faufile pour les enfants malades.

En septembre 2019, pour débuter l’année scolaire, Charlotte offre une prestation à l’Université de Montréal, elle reçoit une nomination comme chanson de l’année avec sa reprise « Fous N’importe Où » et joue au Venus Fest à Toronto. En décembre, juste à temps pour la période des fêtes, grâce à la fondation Evenko, Charlotte participe à un don d’un piano à queue Yamaha pour l’école Face, au centre-ville de Montréal.

À la fin janvier 2020, Charlotte a dévoilé un film sur son quotidien, Charlotte Été 2019. L’artiste présente ce projet comme étant plus artistique et personnel n’ayant pas de contrainte. Entourée de sa sœur Camille Cardin-Goyer, l’idée était de suivre Charlotte dans l’aventure du festival de Jazz en répétitions et dans la création du spectacle.

Charlotte dévoile que son pire cauchemar serait si tout s’arrêtait maintenant, et bien moi je ne crois pas que c’est pour tout de suite! D’ailleurs, je dois mentionner que Charlotte est présentement à travailler sur l’élaboration de son tout premier album solo. Un projet qu’on attend avec impatience! On peut l’a suivre via ses réseaux sociaux et son site internet.

Madame Sourire

Source; https://www.charlottecardin.com/

https://www.vrak.tv/nouvelles/musique/biographie-charlotte-cardin-auteure-compositrice-interprete-1.5793098

https://music.apple.com/ca/artist/charlotte-cardin/784665014

http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/musique/festival-48-heures-aux-francofolies-de-la-rochelle-15-07-2019-8117055.php?fbclid=IwAR1eeA9rSzbua6Zvfr9L84f_l_i6zfyLfnPCy7XAWb2-X8FinM8DlwD12QY

Film (Été 2019): https://youtu.be/MWvrXZNGzJA

Recette familiale coup de cœur : Macaroni au fromage de ma grand-mère

Recette familial - Macaronis au fromage

 

Bonjour,

Pour commencer l’année 2020, je voulais vous partager une recette familiale que j’aime beaucoup. Pour la petite histoire, ce repas vient de mon arrière-grand-mère maternelle qui l’a transmis à ma grand-mère et maintenant, c’est ma mère qui cuisine quelques fois ce macaroni au fromage tout spécial. Lorsque j’étais enfant et adolescente, alors qu’on allait manger chez  ma grand-mère, je me souviendrais toujours de l’odeur en rentrant dans la maison. J’étais si heureuse quand je savais qu’on allait manger ce fameux macaroni au fromage!

Cette recette est pour 6 portions.

Ingrédients :

  • 3 c. à soupe de beurre (température pièce)
  • 3 c. à soupe de farine blanche tout usage
  • 3 tasses de lait
  • 3 tasses de macaroni
  • 13 ou 14 tranches de fromage en tranche Kraft (orange)
  • 1 boîte de tomates en dés épicés à l’italienne
  • Sel & poivre

Préparation

  1. Faire un beurre manié : mélanger le beurre et la farine jusqu’à une texture homogène et crémeuse.
  2. langer en quantité égale de la farine et du beurre à température pièce. Le mélange obtenu doit être homogène et crémeux. On ajoute le beurre manié au liquide très chaud (à la limite de l’ébullition) et on fouette jusqu’à épaississement, mélanger en quantité égale de la farine et du beurre à température pièce. Le mélange obtenu doit être homogène et crémeux. On ajoute le beurre manié au liquide très chaud (à la limite de l’ébullition) et on fouette jusqu’à épaississement. mélanger en quantité égale de la farine et du beurre à température pièce. Le mélange obtenu doit être homogène et crémeux. On ajoute le beurre manié au liquide très chaud (à la limite de l’ébullition) et on fouette jusqu’à épaississement. Dans une casserole moyenne, faire chauffer le lait. Ne pas le faire bouillir.  Lorsqu’il est très chaud ajouter le beurre manié et fouetter jusqu’à épaississement. Salé et poivré au goût.
  3. Ajouter graduellement au lait épaissi 8 tranches de fromage coupées en lanières. Brasser doucement jusqu’à ce que tout est fondu et onctueux.
  4. Pendant ce temps, dans une grande casserole, cuire les pâtes dans une grande quantité d’eau bouillante salée jusqu’à ce qu’elles soient al dente. Égoutter les pâtes, les mettre dans un plat allant au four (rectangulaire de 2 à 3 pouces de profondeur).
  5. Ajouter la sauce et le contenu de la boîte de tomates en dés aux pâtes, mélanger. Ajouter coupé en lanières les 5 à 6 tranches de fromages restantes.
  6. Mettre au four à 350 environ 30 minutes ou jusqu’à ce que le fromage soit grillé.

Bon appétit!

Madame Sourire